Institut de Dermatologie du Grand Ouest
CHU Nantes – Hôtel Dieu
Service de Dermatologie, 7e étage (aile Nord)
1 place Alexis Ricordeau
44093 Nantes Cedex 1
IDGO soutient la recherche clinique et translationnelle en dermatologie, dans le Grand Ouest
IDGO propose une harmonisation de la formation des étudiants de 3ième cycle (internes) en dermatologie ainsi que la mise à disposition d’outils communs
IDGO vise à optimiser la prise en charge des patients, dans le Grand Ouest.
Cette collaboration a été initiée en 2007 pour fédérer nos moyens en recherche clinique, dans le cadre de la prise en charge des cancers cutanés. Grâce au soutien du Groupement InterRégional de Recherche Clinique du Grand Ouest (GIRCI GO), nous avons créé en 2017 IDGO.
IDGO fédère les 6 CHU ainsi que les 7 CH de l’interrégion disposant d’un service de Dermatologie : CHU d’Angers, CHRU de Brest, CHU de Nantes, CHU de Poitiers, CHU de Rennes et CHRU de Tours, CH Bretagne Sud, CH de Cornouaille, GH de La Rochelle-Ré-Aunis, le CH Le Mans, le CHR d’Orléans, le CH Saint-Brieuc et le CHD Vendée.
IDGO structure la dermatologie dans le grand ouest de la France autour de trois axes :
IDGO organise l’offre de santé en dermatologie sur le territoire du Grand Ouest, et constitue ainsi le guichet unique de dermatologie dans l’inter-région du Grand Ouest.
les résultats issus de la recherche fondamentale vers la clinique
l’activité de soin en dermatologie dans le Grand Ouest
les étudiants et tous les autres professionnels de santé en dermatologie dans le Grand Ouest
la mise en place des essais cliniques innovants dans le Grand ouest
des actions de prévention primaire et secondaire
la formation des internes de dermatologie du Grand Ouest
La coordination d’IDGO est, par alternance, rattachée à l’un des centres. Le premier centre coordonnateur est le CHU de Nantes, le Pr Brigitte DRENO étant la coordinatrice d’IDGO.
Les missions du Comité Scientifique sont de planifier et d’encadrer les activités du réseau. Composé de deux représentants de chaque centre ainsi que du coordinateur d’IDGO, le Comité Scientifique se réunit deux fois par an.
Réunissant une fois par an l’administrateur du GCS HUGO (Groupement de Coopération Sanitaire des Hôpitaux Universitaires du Grand Ouest), le coordinateur du GIRCI GO (Groupement InterRégional de Recherche Clinique du Grand Ouest), du directeur de chaque centre participant et du coordinateur d’IDGO, l’Assemblée Générale a pour mission de valider le rapport d’activité annuel d’IDGO, d’élire le coordinateur du réseau ainsi que de prévoir la répartition budgétaire des financements obtenus.
Aujourd'hui, la politique de santé engagée par le Ministère de la Santé vise à fédérer les établissements de santé (GHT...), à créer un maillage territorial associant des professionnels de l’ambulatoire et des établissements hospitaliers dans les domaines des soins, de la recherche et de l’enseignement. En s’engageant dans cette approche aujourd’hui, IDGO innove en étant le premier institut de dermatologie en France basé sur cette politique. L’objectif poursuivi est ainsi de permettre d’offrir aux patients et aux étudiants de 3ième cycle (internes), respectivement, une même qualité de soins et d’enseignement, sur tout le Grand Ouest.
Au cœur de toutes les actions entreprises par IDGO : le patient. Le rapprochement et l’interaction des chercheurs, professionnels de santé hospitaliers ou libéraux, assure l'accès aux patients à des protocoles de recherche innovants et leur permet de bénéficier d'une expertise de qualité large pouvant répondre à des besoins variés sur tout le Grand Ouest.
Le partage des domaines d'expertise en recherche entre les centres de Dermatologie d'IDGO et le travail en synergie permet à la recherche dermatologique du Grand Ouest de renforcer sa lisibilité au niveau national et européenne.
Coordinateur : Dr Caroline Jacobzone-Lévêque
Objectif(s) poursuivit(s) : Permettre aux médecins impliqués en onco-dermatologie de garantir à tous leurs patients porteurs d’un mélanome ou d’une tumeur cutanée la même qualité des soins, quelque soit le lieu et la structure de prise en charge, et à proximité du lieu de vie chaque fois que possible
Centres IDGO participants : Brest, Rennes
Objectif(s) poursuivit(s) :
- Assurer la prise en charge globale du patient porteur de mélanome en développant des soins de proximité pour favoriser la qualité de vie du malade.
- Garantir la qualité des soins et le suivi continu du malade par le partage des informations et la formation continue des différents professionnels adhérant au réseau.
- Proposer des protocoles de traitements toujours évalués et actualisés sur la base d’un consensus national et européen.
- Infléchir le coût global de la prise en charge, en réduisant le nombre des hospitalisations et en facilitant la circulation des informations, de manière à promouvoir une gestion de proximité.
- Renforcer les actions de d’éducation, de formation et de sensibilisation dans le domaine de la cancérologie cutanée de manière à améliorer la prévention primaire et à encourager le dépistage précoce du mélanome.
- Apporter l’aide sociale et le soutien psychologique nécessaires au patient et à son entourage par la coordination d’intervenants pluridisciplinaires.
Centres IDGO participants : CHU d'Angers, CHRU de Brest, GH La Rochelle, CH Le Mans, CH Bretagne Sud, CHU de Nantes, CHU de Rennes
Coordinateur : Pr Earl Carstens (France : Pr Laurent Misery)
Objectif(s) poursuivit(s) : multidisciplinary international association of clinical practitioners, researchers and scientists dedicated to improving our understanding and treatment of pruritus for the benefit of suffering patients worldwide
Centres IDGO participants : Brest
Objectif(s) poursuivit(s) :
- Fédérer les centres cliniques de dermatologie et de cancérologie et les réseaux existants dans le domaine du mélanome autour d’une base de données commune,
- Etre un interlocuteur privilégié des industriels pour les essais cliniques
- Assurer des interactions étroites avec l’ensemble des disciplines hospitalières intervenant dans l’évaluation du mélanome,
- Assurer le fonctionnement d’une base de données cliniques nationale,
- Assurer des interactions entre recherche clinique et translationnelle, et soutenir la recherche fondamentale.
Centres IDGO participants : CHU d'Angers, CHRU de Brest, GH La Rochelle, CH Le Mans, CHU de Nantes, CHR d'Orléans, CHU de Poitiers, CHU de Rennes, CHRU de Tours
CA 224-020
Etude de phase I/II d'escalade de dose et d'expansion étudiant la sécurité d'emploi, la tolérabilité et l'efficacité de l'anticorps monoclonal Anti-LAG-3 (BMS-986016) seul ou en combinaison avec un anticorps monoclonal anti-PD-1 (Nivolumab) dans le traitements des tumeurs solides avancés
BMS
CHU de Nantes
Evaluer la sécurité d'emploi, la tolérabilité et l'efficacité de l'anticorps monoclonal Anti-LAG-3 (BMS-986016) seul ou en combinaison avec un anticorps monoclonal anti-PD-1 (Nivolumab) dans le traitements des tumeurs solides avancés
550
Phase I/II
- Age ≥ 12 ans
- ECOG PS ≤ 1
- Progression antérieure sous traitement par anti-PD-1 (monothérapie ou combinaison) (thérapie ciblée possible en fonction de la cohorte)
- Au moins une lésion mesurable à la baseline
- Consentement pour réalisation d'une biopsie prétraitement
- Maladie auto-immune
- Métastases cérébrales non contrôlées ou cerveau étant le seul lieu de la maladie active
- Antécédents d'encéphalite, méningite ou crise non contrôlée dans l'année précédant le consentement
PERFORMUS
Traitement par sirolimus des malformations vasculaires de bas débit, volumineuses et compliquées chez l'enfant : essai thérapeutique de phase 2
CHRU de Tours
CHRU de Tours, CHU d'Angers, CHU de Nantes
Evaluer si le traitement par le sirolimus, inhibiteur de mTOR, permet la réduction du volume de malformations vasculaires de bas débit et volumineuses chez l'enfant par IRM, à l'issue de la période de traitement de 4 à 8 mois, comparé à une période observationnelle (de même durée)
50
Phase NA
- Age > 6 ans et < 18 ans
- Malformation vasculaire de bas débit confirmée par IRM, syndromique ou isolée (malformation lymphatique micro kystique, malformation lymphatique mixte micro et macro kystique, malformation veineuse, malformation combinée lymphatique et veineuse)
- malformation veineuse volumineuse et compliquée (douleur, gêne fonctionnelle, saignements, suintements)
- malformation veineuse étendue aux tissus sous-jacents (hypoderme, fascia, muscles et/ou os)
- IRM de la malformation veineuse réalisée dans les 8 derniers mois
- Calendrier vaccinal à jour
- Malformation vasculaire lymphatique macro kystique seulement
- Atteinte viscérale mettant en jeu le pronostic vital
- Patient ayant déjà reçu un inhibiteur mTOR par voie orale
- Immunosuppression (immunodépression pathologique ou iatrogène)
- Infection chronique connue
- Antécédent de cancer dans les 2 années précédentes
- Femme enceinte, allaitante ou en âge de procréer sans contraception efficace, jusqu'à 12 semaines après l'arrêt du traitement
- Allergie connue aux inhibiteurs de mTOR
- Traitement concomitant inhibant ou activant le CYP-3A4, la glycoprotéine P, les médicaments cytotoxiques, les immunoglobulines anti-lymphocytes et le métoclopramide
- Intolérance ou malabsorption au fructose, au glucose ou au galactose, insuffisance métabolique au sucraseisomaltase ou au lactase
- Allergie connue aux arachides ou soja
- Insuffisance hépatique (transaminases > 2,5N)
- Anémie (Hb < 9 g/dl), leucopénie (< 1000/mm3), thrombopénie (< 80 000/mm3)
- Hypercholestérolémie (LDL-cholestérol ≥ 2g/l)
- Contre-indication à l'IRM
- Allergie connue à la lidocaïne
- Vaccin vivant jusqu'à 3 mois après l'arrêt du traitement
PRADA
Essai pragmatique multicentrique randomisé en double-aveugle contre placebo dans la dermatite atopique, testant le contrôle sur le long terme d'une supplémentation orale en vitamine D en traitement additionnel au traitement standard, couplé à l'essai exploratoire sur la photothérapie UV à doses filées pendant la période hivernale
CHU de Rennes
CH de Cornouaille, CHU de Rennes, CHRU de Tours, CH Le Mans, CHU de Nantes
Evaluer un nouveau schéma de photothérapie en traitement add-on (en plus des traitements topiques standards) sur le contrôle à long terme de la dermatite atopique chez des patients âgés de 15 ans ou plus avec une dermatite atopique évoluant depuis plus de 2 ans, modérée à sévère (IGA > 2) pris en charge majoritairement en dermatologie de ville associé ou non à une supplémentation en vitamine D
200
Phase III
- Age > 15 ans
- Dermatite atopique (critères de Hanifin et Rajka)
- Dermatite atopique évoluant depuis au moins 2 ans,
- Dermatite atopique modérée à sévère (IGA > 2)
- Patients ayant reçu des traitements topiques anti-inflammatoires pendant au moins 12 semaines et dont les signes cutanés nécessitent une intensification du traitement,
- Sévérité de la dermatite atopique variable en fonction des saisons (sur la base d'un questionnaire évaluant l'amélioration pendant l'été)
- Accès facile à une cabine de photothérapie (largement implantée en dermatologie de ville)
- Contraception efficace pendant 30 jours avant l'administration du traitement, pendant le traitement et jusqu'à 29 semaines après la dernière administration pour les femmes en âge de concevoir un enfant
- Contre-indications à une supplémentation en vitamine D: poussée de granulomatose, hyperparathyroïdie primaire,
- Suspicion clinique d'hypercalciurie,
- Traitement par immunosuppresseur systématique envisagé dans les 2 ans à venir,
-Dermatite atopique connue pour être aggravée par le soleil,
- Contre-indication à l'exposition aux UV naturels et superficiels : maladies génétiques prédisposant aux cancers cutanés, antécédents personnels de cancers cutanés (mélanome, carcinome épidermoïde, carcinome basocellulaire), lupus, dermatomyosite, tout autre dermatose photosensible, traitement photosensibilisant),
- Plus de 100 séances de photothérapie réalisées,
- Grossesse ou allaitement
- Personne sous protection légale (sauvegarde de justice, curatelle, tutelle) ou personne privée de liberté
EDU DA
Etude contrôlée randomisée multicentrique chez les enfants avec une dermatite atopique modérée à sévère évaluant le bénéfice d'un programme individuel d'éducation thérapeutique réalisé par des infirmières en plus du traitement standard par rapport au traitement standard seul sur le contrôle à long terme de sévérité de la maladie à 6 mois
CHU de Nantes
CHU de Nantes, CHRU de Brest, CHU de Rennes
Evaluer les bénéfices d'un programme individuel d'éducation thérapeutique réalisé par des infirmières en complément du traitement standard, par opposition au traitement standard seul sur le contrôle à long terme de la gravité de la maladie chez les enfants et les adolescents ayant une dermatite atopique modérée à sévère en utilisant le SCORAD (notation échelle de la dermatite atopique)
250
Phase NA
- Age entre 3 mois et 18 ans
- Patient atteint de dermatite atopique
- SCORAD ≥ 20 (DA modérée à sévère)
- Traitement anti-inflammatoire topique en cours corticostéroïdes topiques ou tacrolimus topique)
- Traitement systémique en cours
- Patient ou parent ayant déjà reçu un programme d'éducation dans le cadre de leur dermatite atopique
SCRATCH
Essai thérapeutique en cluster comparant l'efficacité d'un traitement oral par Ivermectine en 2 prises et un traitement local par Permethrine en 2 applications dans la gale de l'enfant
CHU de Bordeaux
CHU de Nantes, CH Le Mans, CHRU de Tours, CHRU de Brest
Comparer à l'échantillon du cluster l'efficacité d'un traitement par Ivermectine administré au cluster formé d'un cas index (enfant ou adulte) et de son entourage immédiat (1er cercle) en 2 prises vs Permethrine à 5% en 2 applications, avec un objectif de non infériorité associé à un switch possible vers une conclusion de supériorité
502
Phase III
- Poids ≥ 15 kg
- Gale définie par un examen dermoscopique positif
- Traitement anti-scabieux quel qu'il soit dans les 4 semaines précédentes
- Allergie connue à l'Ivermectine ou à la Permethrine
- Eczématisation diffuse ou impétigination étendue
- Insuffisance hépatique ou rénale sévère
AcSé Nivo
Accès sécurisé au nivolumab pour des patients adultes porteurs de certains types de cancers rares
UNICANCER
CHRU de Brest, CHU de Nantes, CHU de Poitiers, CHU de Rennes
Evaluer la réponse au traitement par nivolumab en monothérapie dans des cohortes de patients atteints de carcinome non à cellules claires du rein, cancer rare de la tête et du cou, cancer rare de la peau, cancer avec MIS autres que cancer colorectal, cancer du pénis, ou cancer avec mutation du domaine exonucléaire du gène POLE. La pathologie doit être métastatique ou localement avancée, non résécable, résistante ou réfractaire aux traitements standard pour lequel il n'existe pas d'autre option thérapeutique standard ou expérimentale adaptée disponible.
250
Phase II
- Confirmation histologique de carcinome annexiel ou de carcinome basocellulaire résistant au vismodegib
- Age ≥ 18 ans.
- Maladie métastatique ou localement avancée, non résécable qui est résistante ou réfractaire au traitement standard, ou pour lequel il n’existe pas de traitement standard adapté selon l’investigateur
- Maladie mesurable selon les critères RECIST v1.1 (Eisenhauer, 2009)
- Biopsie FFPE d’un site métastatique ou de la tumeur primitive disponible. A noter : Pour les patients pour qui il n’existe pas du matériel de biopsie archivé adéquate, une nouvelle biopsie d’une lésion tumorale peut être réalisée avant l’entrée dans l’étude, sauf en cas de contre-indication médicale (par exemple : question de la santé du patient).
- Période wash-out obligatoire d’au moins 21 jours après le dernier traitement anticancéreux systémique
- Toutes les toxicités liées à un précédent traitement anticancéreux systémique et/ou à de la radiothérapie doivent être résolues, c’est à dire de grade ≤ 1 (selon l’échelle du National Cancer Institute [NCI] common terminology criteria for adverse events, version 4 [CTCAE v4]) à l’exception de l’alopécie grade 2
- Fonction hématologique adéquate (neutrophiles ≥1.0 x109/L, plaquettes ≥100 x109/L, hémoglobine ≥ 9 g/L) mesurée dans les 14 jours avant l’initiation du traitement à l’étude
- Fonction rénale adéquate (clearance créatinine ≥ 50 ml/min selon la méthode MDRD ou CKI EPI) mesurée dans les 14 jours avant l’initiation du traitement à l’étude
- Fonction hépatique adéquate (bilirubine ≤ 1.5 xLSN sauf en cas de syndrome de Gilbert; aspartate aminotransférase [ASAT] et alanine aminotransférase [ALAT] ≤ 3 xLSN) mesurée dans les 14 jours avant l’initiation du traitement à l’étude. Pour les patients présentant des métastases hépatiques ASAT/ALAT ≤ 5xLSN
- Valeurs strictement normales de calcium et de magnésium dans le sang, mesurées dans les 14 jours avant l’initiation du traitement à l’étude
- Statut de performance ≤ 1 selon l’échelle de l’Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG)
- Espérance de vie estimée ≥ 90 jours
- Les patients sexuellement actifs devront accepter l’utilisation d’une méthode de contraception médicalement reconnue (implants, injectables, contraceptifs oraux combinés, certains dispositifs intra-utérins, ou un partenaire vasectomisé pour les femmes participantes ; préservatifs pour les hommes participants) ou pratiquer de l’abstinence complète dès 14 jour avant la première administration du produit d’investigation, pendant le traitement et jusqu’à au moins 5 mois après la dernière administration du produit d’investigation pour les femmes, et 7 mois après la dernière administration du produit d’investigation pour les hommes
- Les femmes en âge de procréer doivent présenter un résultat négatif à un test de grossesse urinaire ou sanguin réalisé dans les 72 heures avant la première administration du produit d’investigation. Si le résultat d’un test urinaire est positif, ou ne peut pas être confirmé, un test sanguin sera requis
- Les femmes allaitants doivent interrompre l’allaitement avant la première administration du produit d’investigation et jusqu’à au moins 90 jours après la dernière administration du produit d’investigation
- Patients couverts par un régime de sécurité sociale
- Traitement antérieur avec un anticorps anti-PD1 ou Anti-PD-L1
- Eligible, et disposé à participé à un essai clinique d’un traitement anticancéreux alternatif ciblant leur maladie et qui est ouvert à l’inclusion en France
- Utilisation concomitante d’un traitement stéroïdien à une dose supérieure à 10 mg/jour de prednisone
- Maladie auto-immune active nécessitant un traitement systémique dans les 2 dernières années (i.e. utilisation d’agents de modification de la maladie, corticostéroïdes, ou d’immunosuppresseurs). Les thérapies de remplacement (thyroxine, insuline, ou corticostéroïde physiologique pour insuffisance surrénal ou pituitaire, etc.) ne sont pas considérées comme des traitements systémiques
- Histoire de pneumonite (non-infectieuse) nécessitant des stéroïdes, ou pneumonite intercurrente
- Hypersensibilité sévère connue à un traitement par anticorps monoclonal
- Radiothérapie (sauf du cerveau et les extrémités) dans les 21 jours avant la première administration du produit d’investigation
- Traitement avec un autre médicament expérimental ou participation dans un autre essai clinique dans les 21 jours avant la première administration du produit d’investigation, ou concomitant avec cet essai
- Métastases symptomatiques du système central nerveux (SCN). Les patients présentant des métastases cérébrales déjà traitées peuvent participer à l’étude à condition que les métastases soient stables (sans évidence de progression dans les 4 semaines ou plus avant la première administration du produit d’investigation et retour à la normale de tout symptôme neurologique), qu’il n’y ait pas de signes d’apparition de nouvelles lésions ou d’agrandissement de lésions pré-existantes, et que les patients n’utilisent pas de stéroïdes depuis 7 jours ou plus avant le traitement de l’étude
- Antécédent de méningite carcinomateuse ou de maladie leptoméningée
- Créatinine > 1.5 xLSN ou débit de filtration glomérulaire < 50 ml/min
- Lymphocytes < 1000/mm3 et CD4+ < 500/mm3 lors d’une analyse de routine
- Autre maladie maligne dans les 5 dernières années sauf cancer basocellulaire de la peau ou carcinome du col utérin in situ
- Infection grave active surtout si elle nécessite un traitement antibiotique ou antimicrobien systémique
- Hépatite B ou hépatite C active ou chronique et/ou infection par le virus de l'immunodéficience humaine (anticorps VIH 1/2), ou antécédent Tuberculosis bacillus actif
- Vaccin vivant reçu dans les 30 jours avant le début du traitement de l’étude.
A noter : les vaccins contre la grippe saisonnière par injection sont généralement des vaccins inactivés et sont autorisés ; toutefois les vaccins intranasaux contre la grippe (par exemple Flu-Mist®) ne sont pas permis
- Abus actif de drogue ou d’alcool
- Facteurs psychologiques, familiaux, sociologiques, ou géographiques qui pourraient potentiellement entraver la compliance du protocole de l’étude et le suivi du calendrier
- Toute condition pour laquelle la participation du patient au protocole présenterait un risque ou qui ne permettrait pas de respecter les exigences du protocole selon l’investigateur
NIVO-TIL
Traitement combiné du Nivolumab et d’un transfert adoptif de lymphocytes T pour des patients atteints de mélanome métastatique : étude pilote de phase I/II
CHU de Nantes
CHU de Nantes
Evaluer la sécurité clinique et biologique du transfert adoptif de cellules T associé à des perfusions de Nivolumab
11
Phase I/II
- Age ≥ 18 et ≤ 75 ans
- Poids ≥ 40 kg
- ECOG 0-1 ou Karnofsky >80%
- Patient atteint d’un mélanome métastatique de stade IIIb, IIIc ou IV (AJCC 6ème édition)
- Minimum 2 lésions cibles (dont une facilement accessible) et pas plus de deux lignes de traitement du mélanome à ce stade
- Patient avec une mutation Braf V600 peut être inclus uniquement en cas d’échec de la biothérapie ciblée (inhibiteur de BRAF +/- inhibiteur de MEK)
- Utilisation d’une contraception pendant l’essai clinique et 5 mois après la dernière dose de Nivolumab pour les femmes ou 7 mois après pour les hommes
- Maladie mesurable / évaluable, dans les 28 jours qui précèdent la première administration du traitement à l’étude
- Sérologie virale négative (HIV 1 / 2, Ag p24, HTLV 1 / 2, hépatites B et C, syphilis)
- Résultats d’analyse : Hémoglobine ≥ 10 g/dl ou ≥ 6,25 mmol/l, Neutrophiles ≥ 1500/µl, Leucocytes ≥ 4000/µl, Lymphocytes ≥ 700/µl, Plaquettes ≥ 100.000/µl, Créatinine ≤ 1,5 N, Bilirubine totale ≤ 1.5 N, ASAT et ALAT ≤ 2 N, LDH ≤ 1,5 N
- Métastases cérébrales ou osseuses
- Mélanome oculaire
- Chimiothérapie ou radiothérapie dans les 4 semaines précédant l’inclusion (6 semaines pour les nitroso-urées et mitomycine C)
- Contre-indication à l’utilisation d’agents vasopresseurs
- Antécédents d’allergies et de réactions indésirables aux médicaments
- Antécédents d’allergies et de réactions indésirables à l’albumine (excipient des TILs), au nivolumab ou à un anticorps monoclonal
- Sérologie virale positive pour Ac HIV 1/2, Ag p24, Ac HTVL 1/2, Ac hépatite B, Ag HBs, Ac hépatite C, ou syphilis (tests TPHA et VDRL)
- Antécédent de manifestation ou manifestation actuelle d’une maladie cardiaque sévère progressive (insuffisance cardiaque congestive, maladie coronarienne, hypertension artérielle non contrôlée, troubles du rythme graves ou des signes à l’ECG d’infarctus du myocarde antérieur)
- Patient ayant déjà reçu un traitement anti-PD1, anti-PD-L1, anti-PD-L2, anti-CTLA4 ou tout autre anticorps ou médicament ciblant spécifiquement la costimulation des cellules T ou des voies de contrôle immunitaire
- Antécédent de maladie auto-immune chronique (maladie d'Addison, sclérose en plaques, maladie de Basedow, polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux systémique, etc. ...) sauf vitiligo avec patient actif ou antécédent de vitiligo.
- Antécédents d'uvéite ou de rétinopathie associée au mélanome
- Antécédents de maladie inflammatoire de l'intestin, de maladie cœliaque ou d'autres troubles gastro-intestinaux chroniques conditions associées à la diarrhée.
- Présence d'un deuxième cancer actif, à l'exception d'un cancer du col utérin in situ ou d'un
cancer de la peau différent du mélanome traité
- Dysfonction thyroïdienne non contrôlée
- Toute maladie grave, aiguë ou chronique comme infection active demandant des antibiotiques
l'administration, les troubles de la coagulation, ou tout état demandant un concomitant non autorisé traitement décrit dans cette étude
- Les patients doivent être exclus s'ils présentent une affection nécessitant un traitement systémique soit des corticostéroïdes (> 10 mg d'équivalent prednisone par jour) soit d'autres immunosuppresseurs médicaments dans les 14 jours précédant l'administration du médicament. Stéroïdes inhalés ou topiques et doses de remplacement surrénalien > 10 mg d'équivalents de prednisone absence de maladie auto-immune active.
Les sujets sont autorisés à utiliser topique, oculaire, intra-auriculaire, intranasale et par inhalation
corticostéroïdes (avec une absorption systémique minimale).
Les doses physiologiques de remplacement de les corticostéroïdes systémiques sont autorisés, même si> 10 mg / jour d'équivalents de prednisone.
Une brève étape de corticostéroïdes pour la prophylaxie (par exemple, l'allergie de colorant de contraste) ou pour le traitement de non conditions auto-immunes (par exemple, une réaction d'hypersensibilité retardée causée par le contact allergène) est autorisé.
- Majeurs bénéficiant d’un régime de protection légale (tutelle, curatelle, sauvegarde de justice)
CUTALLO
Etude NI14018 - CUTALLO 01 : étude prospective, contrôlée, multicentrique évaluant l'intérêt de l'allogreffe de cellules souches hématopoïétiques dans les lymphomes T cutanés épidermotropes de stade avancé avec facteurs de mauvais pronostic
AP-HP
CHU d'Angers, CHU de Nantes, CHU de Rennes
Comparer l'efficacité de l'allogreffe de cellules souches hématopoïétiques de donneur géno-identique ou phéno-identique de compatibilité HLA 10/10ième après conditionnement réduit au traitement standard dans les lymphomes T cutanés épidermotropes de stade avancé avec facteurs de mauvais pronostic
78
Phase NA
- Age ≥ 18 ans et ≤ 65 ans
- Diagnostic confirmé de lymphome T cutané épidermotrope selon les critères WHO-EORTC de stade IIB, III, IVA ou IVB selon les critères ISCL-EORTC
- Réponse partielle ou complète du lymphome au moment de l'inclusion définitive
- Recherche d'un donneur de cellules souches hématopoïétiques en cours ou effectuée
- Et au moins l'un des 3 critères suivants :
* Rechute précoce (dans l'année) ou absence de réponse après au moins une ligne de traitement systémique (incluant la photochimiothérapie extracorporelle, à l'exclusion des traitements suivants : méthotrexate, interféron-α sous cutané, rétinoïdes oraux)
* Transformation histologique précoce en lymphome à grandes cellules (dans les 2 ans après le diagnostic de lymphome T cutané épidermotrope)
* Antécédent d'envahissement ganglionnaire N3 (critères ISCL-EORTC) ou viscéral par le lymphome
- Allogreffe de cellules souches hématopoïétiques antérieure, autre néoplasie ou maladie psychotique évolutive
- Fraction d'éjection ventriculaire gauche <50%, insuffisance respiratoire sévère obstructive définie par VEMS <30% ou CPT <30% ou DLCO<30% de la valeur théorique, clairance de la créatinine <50 ml/min, ALAT >2xN, bilirubine sérique >2xN en l'absence d'envahissement hépatique par le lymphome
- Lymphome HTLV-1
CA186-107
Etude de phase I/II (escalade de dose et expansion) évaluant la sécurité et la tolérance d'Urelumab administré en combinaison avec du Nivolumab chez les patients atteints de tumeurs solides avancé et/ou métastatique ou de lymphome non-Hodgkinien à cellules B
BMS
CHU de Rennes
Evaluer la tolérance d'Urelumab combiné au Nivolumab chez les patients atteints de tumeurs solides avancé et/ou métastatique ou de lymphome non-Hodgkinien à cellules B
200
Phase I/II
- Age ≥ 18 ans
- Pour la cohorte d'escalade de dose :
Patients ayant précédemment bénéficiés d'un traitement pour tumeurs solides avancé et/ou métastatique ou de lymphome non-Hodgkinien à cellules B
- Pour la cohorte d'expansion :
- Patients ayant bénéficié d'un traitement antérieur pour une tumeurs solides avancé ou de lymphome non-Hodgkinien à cellules B
- ECOG ≤ 1
- Pour certains patients, accord pour prélèvement d'une biopsie tumorale prétraitement et pendant le traitement
- Métastases du système nerveux central ou système nerveux central comme seul site de la maladie
- Cancers concomitants (avec certaines exceptions per protocole)
- Maladie auto-immune active, documentée ou suspectée
- Maladie cardiovasculaire incontrôlée ou significative
- Antécédent d'hépatites B ou C
- Antécédents de tuberculose active ou latente
FASCE
Etude randomisée en double aveugle de l’intérêt de la spironolactone pour le traitement de l’acné de la femme adulte
CHU de Nantes
CHRU de Brest, CHU de Nantes, CHRU de Tours, CH Le Mans, CHU de Poitiers
Démontrer la supériorité de l’efficacité de la spironolactone dans le traitement de l’acné de la femme adulte comparée à la doxycycline
200
Phase III
- Femme, âge ≥ 20 ans
- Patiente avec de l’acné avec au moins 10 lésions inflammatoires et pas plus de 3 nodules
- Patiente déjà traitée par un cycle de cycline pour son traitement de l’acné avec une période de 3 mois de wash-out ou qui n’a jamais été traitée par cycline
- Abs d’antibiotiques oraux ou de sels de zinc au cours du dernier mois.
- Abs d’isotrétinoïne et d’anti-androgènes systémiques au cours des 6 derniers mois
- Abs de micro-kinésithérapie dans les 15 derniers jours
- Femme en âge de procréer sous contraception depuis au moins 3 mois (contraception orale, implant, DIU hormonal ou non ou toute autre contraception hormonale)
- Affections chroniques et/ou évolutives : infections incluant l’hidradénite suppurée, cancer, ou syndrome endocrinien (ex : syndrome des ovaires polykystiques), maladie d’Addison
- Rosacée
- Contre-indication à l’utilisation d’un des produits utilisés dans l’étude : intolérance ou hypersensibilité aux cyclines/spironolactone/peroxyde de benzoyle, insuffisance rénale sévère ou aigüe (notamment anurie, dysfonctionnement rénal à évolution rapide), stade terminal de l’insuffisance hépatique (grade 3 ou 4)
- Hyperkaliémie ou pathologie nécessitant fortement des substances d'épargne potassique ou traitement en continu par IEC, antagonistes de l’angiotensine II, AINS, héparines (de bas poids moléculaire ou non fractionnées), ciclosporine, tacrolimus
- Isotrétinoïne topique en cours ou arrêté depuis moins de 2 semaines
- Association aux sels de potassium (sauf en cas d’hypokaliémie)
- Patiente ayant déjà reçu de la spironolactone
- Femme enceinte ou susceptible de devenir enceinte ou allaitante et refusant d'utiliser une méthode contraceptive efficace
- Patiente sous tutelle ou curatelle
LUPUS CTL anti-EBV
Restauration du contrôle de l’EBV au cours du lupus systémique. Etude de phase I/II d’un traitement par transfert adoptif de lymphocytes T cytotoxiques autologues anti-EBV
CHU de Nantes
CHU de Nantes
Evaluer la tolérance de la procédure de transfert adoptif de CTL-EBV autologues chez les patients atteints de LES actif ayant déjà rencontré le virus EBV (séropositif pour l’EBV)
10
Phase I/II
- Age ≥ 18 ans et < 65 ans
- Lupus systémique 4 critères de l’ACR avec anticorps anti-nucléaires > 1:80
- Lupus sérologiquement actif sans atteinte sévère évolutive (Reins, SNC)
- Ac anti-DNA natif positifs et/ou C3 ou C4 bas
- SLEDAI supérieur ou égal à 2 à l’inclusion
- Sérologies VHB, VHC, VIH, HTLV1, syphilis : négatives à J-30 avant prélèvement
- Lymphocytes sanguins > 750/mm3
- Dose de prednisone < 15 mg/j avec posologie stable dans les 30 jours précédents l’injection
- Traitements immunosuppresseurs dont la posologie n’a pas été augmentée depuis au moins 3 mois avant l’inclusion
- Sérologie EBV positive
- Lupus sévère évolutif, nécessitant une corticothérapie à forte dose et/ou un traitement immunosuppresseur
- Troubles psychiatriques
- Défaut prévisible de compliance avec impossibilité de suivi
- Episode infectieux en cours
- Cancer évolutif
- Risque de décès dans les 6 mois
CICAFAST
Comparaison contrôlée et en double aveugle d’un pansement traditionnel versus pansement biologique constitué de kératinocytes et de fibroblastes fœtaux en association avec une matrice de collagène sur des sites donneurs de peaux
CHU de Nantes
CHU de Nantes
Comparaison de la cicatrisation par CICAFAST versus le traitement conventionnel JELONET® sur les sites donneurs de greffe de peau partielle épaisse à D8.
38
Phase I/II
- Age ≥ 18 ans
- Patient qui a besoin d’une greffe de peau (taille entre 100cm2 et 200cm2 et épaisseur 1.2mm) après excision chirurgicale
- Antécédent de cancer ou de tumeur
- Maladie métabolique incontrôlée (par exemple le diabète), désordre psychique non traités, artérite sévère sur les membres inférieurs et/ou supérieurs traités avec des anticoagulants (sauf si le traitement s’arrête 7 jours avant la chirurgie), d’une insuffisance veineuse sévère, d’une polyneuropathie sévère, connu pour une allergie aux antibiotiques
- Terrain allergique ou cas d’allergie connu au collagène d’origine bovine ou au silicone
- Traitements à base de corticoïdes, immunosuppresseurs ou agents cytotoxiques sauf si le traitement est stoppé 4 semaines avant la chirurgie
- Contre-indication à l’anesthésique local utilisé par le centre investigateur lors de la procédure de greffe de peau partielle épaisse
- Infection systémique
- Intolérance au traitement traditionnel (JELONET®) ou à la bande extensible (NYLEX®)
GALE CRUSTED
Essai contrôlé randomisé en double aveugle comparant l'efficacité de l'association ivermectine 400µg/kg / perméthrine 5 % / crème émolliente à l'association ivermectine 200 µg/kg / perméthrine 5% / crème émolliente dans le cas de gale sévère
AP-HP
CH de Cornouaille, CHRU de Tours, CHU de Nantes, CHU de Rennes
Démontrer que l'association ivermectine 400µg/kg / perméthrine 5 % / crème émolliente est plus efficace que l'association ivermectine 200 µg/kg / perméthrine 5% / crème émolliente dans le cas de gale sévère (profuse ou hyperkératosique)
130 patients
III
- Patient de plus de 18 ans présentant une forme de gale sévère
- Critère clinique : gale profuse (éruption squameuse du cou, du tronc ou du visage) et/ou gale hyperkératosique (au moins 2 sites de lésions hyperkératosiques)
- Critère paraclinique : prélèvement parasitologique positif (>10 acariens) et/ou examen dermoscopique avec signe de gale
- Femme enceinte et/ou allaitante
- Intolérance à l'ivermectine
- Intolérance au traitement topique (perméthrine 5%)
- Intolérance à l'émollient
- Administration d'un antiparasitaire (ivermectine ou albendazole) dans les 7 jours
- Participation à une autre recherche biomédicale médicamenteuse
CA 045-001
Etude de phase III randomisée, en ouvert comparant NKTR-214 associé au nivolumab versus nivolumab chez des patients atteints de mélanome métastatique ou inopérable n'ayant pas été préalablement traité
BMS
CHU de Nantes
Evaluer le taux de réponse objective, comparer la survie sans progression et la survie globale du NKTR-214 associé au nivolumab et celui du nivolumab en monothérapie chez des patients atteints d'un mélanome métastatique ou inopérable n'ayant pas été préalablement traité
764 patients
III
- ECOG ≤1 (adultes de 18 ans ou plus) ou KPS ≥ 80% (patients âgés de 12 à 17 ans uniquement
- Mélanome de stade III (inopérable) ou stade IV confirmé histologiquement
- Patients naïfs de traitement (c'est-à-dire n'ayant pas reçu de traitement anticancéreux systémique antérieur pour le mélanome inopérable ou métastatique sauf exception de traitement adjuvant antérieur.
- Métastases cérébrales actives ou métastases leptoméningées
- Mélanome oculaire
- Patient avec un maladie auto-immune active, connue ou suspectée.
DIAPREMYF
Evaluation d'une combinaison de marqueurs sanguins pour le diagnostic précoce du mycosis fongoïde
AP-HP
CHU d'Angers, CHU de Rennes, CHRU de Tours
Déterminer si l'expression des gènes d'un ou plusieurs biomarqueures dans le sang peut différencier un mycosis fongoïde précoce de dermatoses inflammatoires bénignes
620 patients
NA
- Age > 18 ans
- Dermatose érythémateuse, sub-aiguë (>15 jours) ou chronique, suspectée de mycosis fongoïde
- Absence de précédent hémopathique ou de lymphome cutané ou extra-cutané
- Biopsie de peau pour l'analyse histopathologique de diagnostic de routine au moment de l'inclusion
- Analyse de clonalité des cellules T dans le sang et la peau au moment de l'inclusion
- Enfants de moins de 18 ans ou adultes malades sous tutelle
CONVEY
(802NP206)
Étude de phase II, contrôlée versus placebo, en double aveugle, de retrait aléatoire à recrutement enrichi, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du BIIB074 dans le traitement de la douleur éprouvée par des patients atteints d’une neuropathie à petites fibres confirmée, qu’elle soit idiopathique ou liée au diabète
Biogen Idec
CHRU de Brest
Evaluer l’efficacité de BIIB074 dans le traitement de la douleur ressentie par les patients atteints de NPF confirmée, qu’elle soit idiopathique ou liée au diabète l.
186 patients
II
- Age ≥ 18 ans
- Diagnostic de neuropathie à petites fibres (au moins « possible ») depuis au moins 6 mois, sur la base d’un diagnostic clinique et confirmé par les valeurs de IENFD. Par ailleurs, le score DQM devra être ≥ 5 et ≤ 9 sur une EEN à 11 points lors de la sélection
- Outre ces critères, les patients atteints de diabète devront présenter une valeur de HbA1c ≤ 11 %, être traités par agents hypoglycémiants oraux et/ou insuline sous-cutanée, ou régime alimentaire, ne pas présenter de signes d’ulcères cutanés, de rétinopathie avancée (définie comme supérieure à un grade 3 [rétinopathie diabétique modérée non proliférante]), de néphropathie sévère ou de maladie athérosclérotique obstructive causée par le diabète.
- Exposition antérieure au BIIB074
- Utilisation de capsaicin en patch 3 mois avant la visite de sélection
- Impossibilité de suspendre des traitements concommittants pour des douleurs avant le jour 1
- Impossibilité de ne pas prendre de traitements concommittants interdits
- Tout autre spécification définie dans le protocole
INVICTUS
Impact du dispositif de compressioN veineuse Venotrain UlcerteC dans le traitement des UlcèreS veineux en pratique quotidienne
Groupe Hospitalier Saint Joseph
CHU d'Angers
Apprécier le niveau d’efficience optimale du dispositif de bas compressifs Venotrain® Ulcertec 39 et Venotrain® Ulcertec 46 lors de la prise en charge d’ulcères de jambe d’origine veineuse ou à prédominance veineuse.
150
NA
Patient dont l’âge est ≥ 18 ans
Patient présentant un ulcère de jambe veineux ou à prédominance veineuse selon la définition de la HAS
Patient présentant au moins un ulcère sus-malléolaire au stade C6 de la CEAP
Surface de l’ulcère de la plus grande taille ≤ 10 cm2
IPS de moins de 6 mois > 0,8 pour les deux membres ou pression du gros orteil ≥ 60 mmHg si médiacalcose (IPS > 1,2)
Patient présentant au maximum trois ulcères supra malléolaires (uni ou bilatéral)
Patient suivi en consultation externe hospitalière dans les services de médecine vasculaire, angéologie, médecine interne, dermatologie ou médecine gériatrique (Première consultation ou non)
Patient avec capacité de déambulation de plus de 50 m (avec ou sans aide)
Patient ayant une indication de prescription d’un système de compression veineuse par bas Venotrain® Ulcertec
Patient ayant donné son consentement libre, éclairé et écrit
Toute autre étiologie non veineuse de l’ulcère selon l’opinion du clinicien
Infections des lésions nécessitant la mise en place d’une antibiothérapie systémique
Contre-indication à un traitement incluant une compression veineuse par bas
Patient présentant des troubles cognitifs
Patient devant être hospitalisé dans les 20 semaines après l’inclusion
Patient présentant une autre plaie que le ou les ulcères de jambe (en particulier ulcère du pied, escarres)
Patient présentant au moins un ulcère très exsudatif, imposant la pose d’un pansement primaire absorbant épais incompatible avec l’utilisation de bas compressifs
APHYPAP
Apretitant vs hydroxyzine dans le prurit aquagénique persistant pour les patients présentant un syndrome myéloprolifératif
CHRU de Brest
CHRU de Brest
Réduction du prurit aquagénique persistant des patients présentant un syndrome myéloprolifératif traités oralement par Apretitant ou hydroxyzine
80
Phase III
Retrouvez les principaux critères d'éligibilité sur ClinicalTrials (NCT03808805)
Retrouvez les principaux critères d'éligibilité sur ClinicalTrials (NCT03808805)
R2810-ONC-1540
Étude de Phase 2 évaluant le REGN2810, un anticorps monoclonal humain anti-récepteur PD-1 (programmed death 1) chez les patients atteints de carcinomes épidermoïdes cutanés évolués
Regeneron Pharmaceuticals Inc.
CHU de Nantes
Estimer le bénéfice clinique du cémiplimab en monothérapie pour les patients atteints de carcinome épidermoïde cutané (CEC) métastatiques (atteinte ganglionnaire ou extension à distance) ou de CEC non résécables.
266
Phase II
Au moins 1 lésion mesurable selon les critères de l’étude
Indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) ≤1
Fonction hépatique et rénale satisfaisante
Tous les patients de chaque groupe doivent consentir à fournir du matériel tumoral archivé ou récemment prélevé
Les patients doivent consentir à faire l’objet de biopsies des lésions du CEC à l’inclusion (groupes 2 et 3)
Chirurgie et radiothérapie considérées comme contre-indiquées.
Maladie autoimmune significative, avec signes d’activité actuels ou récents (< 5 ans), ayant nécessité un traitement avec des immunosuppresseurs systémiques, susceptibles de suggérer un risque d’événements indésirables liés à l’immunité
Traitement antérieur par un agent qui bloque la voie PD-1/PD-L1 ou par anti-BRAF
Traitement antérieur par d’autres agents immunomodulateurs (a) moins de 4 semaines (28 jours) avant la première dose de
cémiplimab ou (b) associé à des événements indésirables à médiation immunitaire de grade ≥ 1 au cours des 90 jours précédant la première dose de cémiplimab ou (c) associé à une toxicité qui s’est traduite par un arrêt de l’agent immunomodulateur. Parmi les agents immunomodulateurs, on trouve les vaccins thérapeutiques anti-cancéreux, les traitements par cytokines (autres que le G-CSF ou l’érythropoïétine) ou les agents qui ciblent les antigènes
4 (CTLA-4), 4-1BB (CD137), PI 3-K-delta ou OX-40 des lymphocytes T cytotoxiques
Présence d’une(de) métastase(s) cérébrale(s) non traitée(s)
susceptibles d’être considérées comme actives
Doses de corticostéroïdes immunosuppresseurs (>10 mg de prednisone ou équivalent par jour) au cours des 4 semaines précédant la première dose de cémiplimab
Une infection active nécessitant un traitement, notamment une
infection par le virus de l’immunodéficience humaine ou une infection active par le virus de l'hépatite B ou le virus de l'hépatite C
Antécédents de pneumopathie inflammatoire non infectieuse au cours des 5 dernières années
Antécédents documentés de réactions allergiques ou d’hypersensibilité aiguë attribuées à des traitements par anticorps
patients allergiques ou hypersensibles à la doxycycline ou à la tétracycline sont exclus
patients ayant un antécédent de transplantation d’organe solide
Toute co-morbidité médicale, résultat de l’examen clinique,
dysfonctionnement métabolique ou anomalie biologique clinique qui, de l’avis de l’investigateur, fait que la participation du patient n’est pas adaptée
Measure up 2 (M18-891)
Etude de phase III randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo visant à évaluer l'upadacitinib chez des patients adultes et adolescents présentant une dermatite atopique modérée à sévère
Abbvie
CHRU de Brest
Evaluer l’efficacité et la sécurité de l'upadacitinib dans le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère chez des patients adolescents et adultes candidats à un traitement systémique
810
Phase III
Patients de 12 à 75 ans
Dermatite atopique modérée à sévère définie sur l'index EASI, l'IGA, le BSA et le prurit
Décision de mise en place d'un traitement systémique ou décision récente d'un traitement systémique pour une dermatite atopique
Exposition préalable à un autre inhibiteur de JAK
Patients ne doivent pas avoir suivi les traitements pour la DA suivants au cours des périodes
spécifiées précédant la visite d'inclusion
Autre pathologie cutanée active ou infection cutanée nécessitant un traitement systémique ou pouvant interférer avec l'évaluation des lésions de dermatite atopique
Patiente enceinte, allaitante ou pouvant être enceinte au cours de l'étude
Keynote 716
Etude de phase III randomisée en double aveugle évaluant le Pembrolizumab (MK-3475) versus Placebo en adjuvant chez des patients atteints d’un mélanome de stade II réséqué à haut risque (KEYNOTE 716)
MSD
CHU d'Angers
Comparer la survie sans récidive (SSR) entre les bras de traitement.
954 patients
Phase III
Les critères d'éligibilité sont consultables sur ClinicalTrials.
Les critères d'éligibilité sont consultables sur ClinicalTrials.
EMBRACE
Étude multicentrique de phase IV, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo visant à évaluer l’impact de l’aprémilast (CC-10004) sur la qualité de vie, l’efficacité et la sécurité d’emploi chez des patients présentant des manifestations cliniques du psoriasis en plaques et une altération de la qualité de vie.
Celgene
CHU de Rennes
Evaluer l’impact de l’aprémilast sur la qualité de vie, l’efficacité et la sécurité d’emploi chez des patients présentant des manifestations cliniques spécifiques du psoriasis en plaques et une altération de la qualité de vie.
255
Phase IV
Merci de consulter la page dédiée à l'étude sur ClinicalTrials (NCT03774875)
Merci de consulter la page dédiée à l'étude sur ClinicalTrials (NCT03774875)
MK-7339-002 / LYNK-002
Etude clinique de phase 2 évaluant un traitement par Olaparib en monothérapie, chez des patients précédemment traités, présentant une tumeur solide avancée HRRm ou HRD
MSD
CHU de Poitiers
Évaluer le taux de réponse objective, comme évalué par un examen central indépendant en aveugle conformément aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides version 1.1 (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors 1.1, RECIST 1.1) ou aux critères modifiés RECIST 1.1 par le groupe de travail sur le cancer, modifiés pour suivre 10 lésions ciblées au maximum et 5 lésions ciblées par organe au maximum, suite à l’administration de l’olaparib dans la Cohorte 1 et la Cohorte 2.
370 (dont 30 en France)
Phase II
Retrouvez les principaux critères d'inclusion sur la page ClinicalTrials de l'étude : NCT03742895
Retrouvez les principaux critères d'inclusion sur la page ClinicalTrials de l'étude : NCT03742895
CA 224-047
Etude de phase 2/3, randomisée, en double aveugle, comparant le Relatlimab combiné au Nivolumab versus Nivolumab chez des participants atteints d'un mélanome métastatique ou non résécable non préalablement traité
BMS
CHU de Poitiers
L'objectif principal de la phase 2 est de comparer le taux de réponse global du BMS-986213 versus nivolumab en monothérapie chez les participants atteints de mélanome métastatique ou non résécable naïf de traitement. L'objectif principal de la phase 3 est de comparer la survie sans progression du BMS-986213 versus nivolumab en monothérapie chez les participants atteints d'un mélanome métastatique ou non résécable naïf de traitement traités.
700
Phase II/III
Retrouvez les principaux critères d'éligibilité sur ClinicalTrials : NCT03470922
Retrouvez les principaux critères d'éligibilité sur ClinicalTrials : NCT03470922
KEYNOTE-630
Étude de phase III, randomisée, en double aveugle, évaluant le pembrolizumab versus placebo en tant que thérapie adjuvante, après chirurgie et radiothérapie, chez des patients ayant un carcinome épidermoïde cutané, localement avancé, à haut risque
MSD
CHU de Poitiers
Evaluer la survie sans récidive chez les patients traités par pembrolizumab ou placebo en situation adjuvante.
570
Phase III
Retrouvez les principaux critères d'éligibilité sur ClinicalTrials : NCT03833167
Retrouvez les principaux critères d'éligibilité sur ClinicalTrials : NCT03833167
LEAP-003
Etude clinique de phase III, randomisée, contre placebo évaluant la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’association du Pembrolizumab (MK-3475) avec le Lenvatinib (E7080/MK-7902) versus le Pembrolizumab seul, en première ligne de traitement, chez des patients atteints d’un mélanome de stade avancé
MSD
CHU de Poitiers
Comparer la survie sans progression de la maladie évaluée par une revue centrale indépendante en aveugle d’après les critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides (RECIST 1.1), modifiés pour suivre un maximum de 10 lésions cibles et un maximum de 5 lésions cibles par organe.Comparer la survie globale.
660
Phase III
Retrouvez les principaux critères d’éligibilité sur ClinicalTrials : NCT03820986
Retrouvez les principaux critères d’éligibilité sur ClinicalTrials : NCT03820986
EORTC-1612 MG
(EBIN)
Encorafénib et Binimétinib suivis d’une association d’immunothérapie (ipilimumab et nivolumab) par rapport à une association d’immunothérapie immédiate chez des patients atteints d’un mélanome non résécable ou métastatique avec mutation V600 BRAF
European Organisation for Research and Treatment of Cancer - EORTC
CHRU de Tours
Evaluer l’association du traitement ciblé (encorafénib et binimétinib) suivie d’une association d’immunothérapie (ipilimumab et nivolumab) par rapport à une association d’immunothérapie immédiate chez des patients atteints d’un mélanome non résécable ou métastatique avec mutation V600 BRAF
II
MK-3475-913
Etude clinique de phase III, en ouvert, simple bras évaluant la sécurité d’emploi et l’efficacité du Pembrolizumab (MK-3475) en traitement de première ligne chez des patients atteints d’un carcinome de Merkel avancé (Keynote-913)
MSD
CHRU de Tours
Évaluer le taux de réponse objective (TRO), tel qu’évalué par un examen central indépendant en aveugle (blinded independent central review, BICR) selon la version 1.1 des critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors version 1.1, RECIST 1.1) modifiés afin de suivre un maximum de 10 lésions cibles et un maximum de 5 lésions cibles par organe, après l’administration du pembrolizumab.
III
RITUX-MMP
Essai randomisé en double-insu contre double-placebo comparant la tolérance et l'efficacité du rituximab par rapport au cyclophosphamide oral dans les formes sévères de pemphigoïde des muqueuses
CHU de Rouen
CHU d'Angers, CHRU de Brest, CH Le Mans, CHU de Nantes, CH de Cornouaille, CHU de Rennes, CHRU de Tours
Mettre en évidence la supériorité du rituximab par rapport au cyclophosphamide afin d’obtenir une RC ou une réponse partielle (RP) (ce qui correspond en pratique clinique à "une réponse presque complète") de la maladie à J364 (M12), chez des patients atteints de formes sévères de pemphigoïde des muqueuses
III
Etude de la diversité des espèces de borrelia impliquées dans les manifestations cutanées de la borreliose Européenne en France
HU de Strasbourg
CHRU de Tours
Mise en évidence et typage des espèces de Borrelia burgdorferi sensu lato impliquées dans la pathogénie des différentes manifestations cutanées de la borréliose de Lyme en France
-
REALIZE
Etude observationnelle multicentrique évaluant les bénéfices de l'apremilast chez les patients atteints de psoriasis en plaques chronique modéré à sévère suivis par des dermatologues en conditions de vie réelle en France
Celgene
CH Le Mans, CHU de Nantes, CHRU de Tours
Evaluer, de façon pertinente pour le patient, le bénéfice du traitement par l'apremilast
-
PODIUM-201
Étude de phase 2 portant sur l’INCMGA00012 administré à des patients atteints d’un carcinome à cellules de Merkel métastatique (POD1UM-201)
Incyte Corporation
CHU de Nantes
Déterminer l’efficacité de l’INCMGA00012 en matière de Taux de réponse Globale (TRG) chez les patients atteints d’un CCM métastatique naïfs de chimiothérapie.
II
R2810-ONC-1620
Étude de phase 2 de REGN2810, un anticorps monoclonal entièrement humanisé anti-PD-1 (récepteur-1 de mort cellulaire programmée), chez des patients atteints de carcinome basocellulaire avancé ayant présenté une progression de la maladie sous thérapie par inhibiteurs de la voie Hedgehog, ou une intolérance à une thérapie antérieure par inhibiteurs de la voie Hedgehog
REGENERON Pharmaceuticals
CHU de Nantes
Estimer le taux de réponse globale (TRG) pour le carcinome basocellulaire métastasique (Groupe 1) ou le CBC localement avancé non résécable (Groupe 2), d’après un contrôle central, traité par REGN2810 en monothérapie chez des patients ayant progressé sous thérapie par inhibiteurs de la voie Hedgehog (IHH) ou intolérants à une thérapie antérieure par IHH.
II
TRICOTEL
Etude de phase II à 2 cohortes évaluant la tolérance et l'efficacité de l'association Cobimetinib+Atezolizumab dans le mélanome avec métastases cérébrales non porteur de la mutation BRAF V600 et de l'association Cobimetinib+Atezolizumab+Vemurafenib dans le mélanome avec métastases cérébrales porteur de la mutation BRAF V600
F. Hoffmann-La Roche LTD
CHU de Nantes
Evaluer l’efficacité et la tolérance de l’association cobimetinib + atezolizumab chez des patients atteints d’un mélanome présentant des métastases cérébrales (MC) non porteur de la mutation BRAFV600, et de l’association cobimetinib + atezolizumab + vemurafenib chez des patients atteints d’un mélanome présentant des MC porteur de la mutation BRAFV600.
II
SUNSHINE
Etude multicentrique, randomisée en double aveugle, évaluant l'efficacité à court terme (16 semaines) et à long terme (jusqu’à 1 an), la sécurité d’emploi et la tolérance de 2 schémas posologiques sous-cutanés de secukinumab chez des patients adultes présentant une hidradénite suppurée modérée à sévère
Novartis Pharma AG
CHRU de Brest, CHU de Nantes
Démontrer l'efficacité du secukinumab comparativement au placebo selon le score HiSCR après 16 semaines de traitement.
III
PRISM
Étude de phase IIb/III, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, à 2 bras, visant à évaluer l’efficacité et l’innocuité de la nalbuphine en comprimés à libération prolongée dans le prurigo nodulaire pour le soulagement du prurit par modulation des lésions de grattage
Revi Therapeutics, Inc.
CHRU de Brest
Évaluer l’effet de NAL LP sur les démangeaisons, évalué par le pourcentage de répondeurs (la « réponse » est définie comme une réduction ≥ 4 points du score moyen à l’échelle d’évaluation numérique des pires démangeaisons (WINRS - Worst Itch Numerical Rating Scale) sur 7 jours
IIb/III
TOPICAL
Sirolimus topique 0,1% dans les malformations cutanées lymphatiques microkystiques : essai thérapeutique de phase II, randomisé, en double aveugle, en comparaison intraindividuelle versus véhicule
CHRU de Tours
CHU d'Angers, CHU de Nantes, CH de Cornouaille, CHU de Rennes, CHRU de Tours
Evaluer l’efficacité à 12 semaines du sirolimus topique 0,1% dans les MCLM, chez les enfants et adultes, versus crème placebo.
II
CA 209-8FC
Etude clinique de phase 1, randomisée en double-aveugle, en groupes parallèles, comparant les pharmacocinétiques du BMSCHO1-nivolumab et du nivolumab
BMS
CHU de Nantes
Comparer les pharmacocinétiques du BMSCHO1-nivolumab par rapport au nivolumab
I
CA 209-76K
Etude de phase 3, randomisée, en double aveugle, d’immunothérapie en adjuvant avec Nivolumab versus placebo après résection complète d’un mélanome de stade IIB/C
BMS
CHRU de Brest, CHU de Nantes
Comparer l’efficacité, mesurée par la survie sans récidive, de Nivolumab en monothérapie versus placebo chez les patients présentant un mélanome de stade IIB/C complètement réséqué, sans maladie décelable ayant un risque élevé de récidive
III
GUIDE
Étude de phase IIIb, multicentrique, randomisée, en double aveugle, en groupes parallèles, évaluant des stratégies thérapeutiques complémentaires avec le GUSELKUMAB chez des patients atteints de psoriasis en plaques de grade modéré à sévère
Janssen-Cilag G.m.b.H
CH Le Mans, CHU de Nantes
Démontrer que les patients super-répondeurs continuent à contrôler la maladie jusqu’à la semaine 68 avec des intervalles d’administration de traitement prolongés de 16 semaines.
III
Etude observationnelle I1F-MC-B007
Description de l’étude observationnelle I1F-MC-B007 Étude sur le psoriasis s’intéressant aux résultats de santé (PSoHO) – étude observationnelle internationale s’intéressant aux résultats de santé sur 3 ans dans le cadre du traitement biologique du psoriasis en plaques modéré à sévère
Eli Lilly
CHD Vendée
Comparer la proportion de patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère traités dans la pratique clinique par ixékizumab ou sécukinumab (la cohorte anti-IL-17A) par rapport à ceux recevant d’autres traitements biologiques
NA
TOPGUN
Sirolimus topique dans les malformations lymphatiques linguales microkystiques
CHRU de Tours
CHRU de Tours, CHR d'Orléans
Evaluer l'effeicacité et la sécurité de l'application locale, une fois par jour, d'une solution de sirolimus à 1 mg/mL en traitement de malformations lymphatiques microkystiques linguales superficielles ou modérément infiltrantes après 4, 8, 12, 16, 20 et 24 semaines de traitement, comparativement au traitement habituel, chez l'enfant de plus de 5 ans ou l'adulte.
II
SPROUT
Étude multicentrique de phase 3, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo évaluant l’efficacité et la sécurité de l’aprémilast (CC-10004) chez des patients pédiatriques âgés de 6 à 17 ans atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère
Celgene
CHU de Nantes, CH de Cornouaille
Evaluer l’efficacité clinique de l’aprémilast par rapport au placebo chez les enfants et les adolescents (âgés de 6 à 17 ans) atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère
III
CLOU064A2201
Etude de phase IIb, multicentrique, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, visant à déterminer la dose optimale de LOU064 et à évaluer l’efficacité, la sécurité d’emploi et la tolérance de ce traitement chez des patients adultes souffrant d’urticaire chronique spontanée (UCS) non contrôlée par un traitement antihistaminique anti-H1
Novartis Pharma AG
CHU de Nantes
Caractériser la relation dose-réponse de LOU064 administré 1 ou 2 fois par jour à des patients souffrant d’urticaire chronique spontané d’après l’évolution du score hebdomadaire d’activité de l’urticaire UAS7 entre la baseline et la Semaine 4
IIb
PEDISTAD
Etude prospective, observationnelle et longitudinale chez les patients pédiatriques atteints de dermatite atopique modérée à sévère dont la maladie n'est pas adéquatement contrôlée par les thérapies topiques ou lorsque ces thérapies ne sont pas médicalement recommandées
Sanofi Adventis
CHU de Nantes
Décrire les caractéristiques des patients pédiatriques atteints de dermatite atopique modérée à sévère dont la maladie n'est pas adéquatement contrôlée par les thérapies topiques ou lorsque ces thérapies ne sont pas médicalement recommandées
NA
COLCHIVAS
Efficacité de la colchicine pour prévenir les rechutes cutanées au cours de la vascularite à IgA de l'adulte
Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP)
CHRU de Tours
Evaluer l'efficacité de la colchicine par rapport au placebo dans la prévention de la rechute cutanée, 6 mois parès l'inclusion, chez les patients adultes avec une vascularite cutanée à IgA seule ou associée à une atteinte digestive non sévère ou rénale
III
PREPARE
Place de l'intervention gériatrique chez les sujets âgés traités pour un cancer
Institut Bergonié
CH de Cornouaille
Evaluer l’apport de l’intervention gériatrique dans la prise en charge des patients âgés (70 ans et plus) traités pour un cancer et détectés par le questionnaire G8 comme étant « à risque».
III
TELLOMAK
Etude de Phase II multicentrique, multi-cohortes, en ouvert évaluant l’efficacité et la sécurité d’IPH4102 seul ou en combinaison avec une chimiothérapie chez des patients atteints d’un lymphome à cellules T avancé
Innate Pharma
CHU de Rennes
Evaluer le taux de réponses objectives d’IPH4102 en monothérapie (dans les Cohortes 1-3) ou en combinaison avec la chimiothérapie GEMOX (Cohortes 4 et 5) chez des patients atteints d’un lymphome à cellules T avancé
II
SUNNY
Etude d'extension sur les effets de l'interruption versus la non interruption d'un traitement à long terme d'un traitement administré à deux doses différentes de Secukinumab chez les patients atteints d'hidradénite suppurée
Novartis Pharmaceuticals
Brest
Evaluer le maintien de la réponse HiSCR à la semaine 104 dans le cadre d'un traitement continu ou interropu comparé à un placebo.
III
COURAGE
Corticothérapie dans l’urticaire aigue aux urgences
Assistance Publique des Hôpitaux de Paris
CHU d'Angers
Démontrer la non-infériorité d’efficacité d’un traitement antihistaminique seul en comparaison avec une association d’un antihistaminique et d’un corticoïde dans le traitement de l’urticaire aigue aux urgences.
III
ECCES
COVID-19 et engelures
CHU de Rennes
CHU de Rennes, CHU d'Angers, CHRU de Brest, CHU de Nantes, CHRU de Tours
Déterminer si les manifestations d'engelures, rapportées avec une fréquence inhabituelle au cours de l'épidémie, peuvent être en lien avec le SARS-CoV-2 coronavirus.
NA
PRIME2
Étude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, multicentrique, en groupes parallèles, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du dupilumab chez des patients atteints de prurigo nodulaire qui sont insuffisamment contrôlés par des traitements topiques prescrits ou lorsque ces traitements ne sont pas conseillés
Sanofi-Aventis Recherche et Développement
CHRU de Brest
Démontrer l’efficacité du dupilumab sur les démangeaisons chez des patients atteints de PN, insuffisamment contrôlés par des traitements topiques prescrits ou lorsque ces traitements ne sont pas conseillés.
III
CUPID
Traitement par Dupilumab chez les patients atteints d'urticaire chronique spontané restant symptomatique malgré le recours à l'antihistamine H1 et naïfs, intolérant ou présentant une réponse incomplète à un traitement par Omalizumab
SANOFI
CHRU de Brest et CHU de Nantes
Démontrer l'efficacité du Dupilumab chez les patients présentant un urticaire chronique spontané restant symptomatique malgré le recours à l'antihistamine H1 (Partie A : patients naïfs d'Omalizumab; Partie B : patients intolérants ou présentant une réponse incomplète à l'Omalizumab)
III
CASSIOPÉE
Évaluation connectée et digitale de différentes dimensions de la qualité de vie de patients psoriasiques initiant un traitement par guselkumab
Janssen-Cilag France
CHRU de Brest
Evaluer les changements de la QdV générale (DLQI) chez les patients atteints de psoriasis traités par guselkumab sur une période de 6 mois.
NA
JAIP - BREEZE-AD-PEDS
Étude de Phase 3, multicentrique, randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo, en groupes parallèles et ambulatoire visant à évaluer les propriétés pharmacocinétiques, l’efficacité et la sécurité du Baricitinib chez des patients pédiatriques atteints de dermatite atopique modérée à sévère
Eli Lilly and Company
CHRU de Brest et CHU de Nantes
Démontrer la supériorité de chaque dose de Baricitinib versus placebo dans le traitement des patients atteints de DA modérée à sévère.
III
HS0003/ HS0004
Etude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, multicentrique, évaluant l'efficacité et la sécurité du Bimekizumab chez les patients atteints d'hidradénite suppurée modérée ou sévère
UCB BioPharma SPRL
CHU d'Angers
III
PIVOT-12
Etude de phase 3, randomisée, ouverte comparant l'immunothérapie en adjuvant par Bempegaldesleukine combiné ou non au Nivolumab après résection complète chez des patients atteints de mélanome et présentant un haut risque de récidive
Nektar Therapeutics
CHU d'Angers
Comparer l'efficacité, mesurée de façon centralisée en aveugle sur la survie sans récidive, du Bempegaldesleukine combiné ou non au Nivolumab après résection complète chez des patients atteints de mélanome et présentant un haut risque de récidive
III
R2810-ONC-1540
Étude de Phase 2 évaluant le REGN2810, un anticorps monoclonal humain anti-récepteur PD-1 (programmed death 1) chez les patients atteints de carcinomes épidermoïdes cutanés évolués
Regeneron Pharmaceuticals, Inc.
CHU de Nantes
Estimer le bénéfice clinique du cémiplimab en monothérapie pour les patients atteints de : carcinome épidermoïde cutané (CEC) métastatiques (atteinte ganglionnaire ou extension à distance) ou de CEC localement évolué non résécables.
II
R2810-ONC-1788
Étude randomisée, contrôlée par placebo, en double aveugle, visant à évaluer le cémiplimab en traitement adjuvant contre un placebo après une intervention chirurgicale et une radiothérapie chez des patients atteints de carcinome épidermoïde cutané à haut risque
Regeneron Pharmaceuticals, Inc.
CHU de Nantes
Comparer la survie sans maladie (SSM) de patients atteints d’un carcinome épidermoïde cutané (CEC) à risque élevé recevant un traitement adjuvant par cémiplimab à la SSM de patients recevant un placebo après une intervention chirurgicale et une radiothérapie (RT).
III
TCD14678
Première étude chez l'homme, de phase 1/1b, d'escalade de dose et d'extension évaluant la tolérance, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l'activité antitumorale du SAR439459, administré par voie intraveineuse en monothérapie et en association avec le cemiplimab chez des patients adultes atteints de tumeurs solides avancées
Sanofi
CHU de Nantes
I/Ib
TRuE-V1
Etude de phase 3, en double aveugle, randomisée, contrôlée, évaluant l'efficacité et la sécurité du Ruxolitinib en crème suivant une période d'extension chez les patients présentant un vitiligo
Incyte Corporation
CHU de Nantes
Evaluer l'efficacité du Ruxolitinib en crème chez les patients présentant un vitiligo
III
MK-3222-011 - reSURFACE 2
Etude de l'efficacité et de la sécurité/tolérance du Tildrakizumab en sous-cutané chez des patients atteints de psoriasis chronique en plaque modéré et sévère dans le cadre d'une étude d'extension à long terme
Sun Pharma Global FZE
CHU de Poitiers
Evaluer l'efficacité et la sécurité/tolérance du Tildrakizumab en sous-cutané chez des patients atteints de psoriasis chronique en plaque modéré et sévère
III
RAGNAR
Evaluation de l'Erdafinitib chez les patients avec une tumeur solide avancée et des altérations du gène FGRF (Fibroblast Growth Factor Receptor))
Janssen Research & Development, LLC
CHU de Poitiers
Evaluer l'efficacité de l'Erdafitinib en terme de taux de réponse globale chez les patients présentant une tumeur solide avancée ainsi que des mutations sur le gène FGFR et des fusions de gènes.
II
MK-3475-630 / KEYNOTE-630
Pembrolizumab vs placebo après une chirurgie et une radiothérapie chez les patients avec un carcinome épidermoïde locallement avancé
Merck Sharp & Dohme Corp.
CHU de Poitiers
Evaluer la supériorité par rapport au placebo en terme de survie sans récidive du Pembrolizumab en adjuvant chez les patients avec un carcinome épidermoïde locallement avancé de haut risque ayant eu une prise en charge chirurgicale combinée à une radiothérapie.
III
LYMphoNIGHT
Etude randomisée, en ouvert permettant d’évaluer l’efficacité du manchon MOBIDERM® Autofit auto- Ajustable porté la nuit lors de la phase de maintien du lymphoedème du membre
Thuasne
CHRU de Tours
Evaluer l'effet du manchon MOBIDERM® Autofit auto- Ajustable porté la nuit lors de la phase de maintien du lymphoedème du membre
NA
ACTIODERME
Etude évaluant le mécanisme d’action du MOBIDERM® chez les patients atteints de lymphoedème des membres inférieurs
Thuasne
CHRU de Tours
Evaluer le mécanisme d’action du MOBIDERM® chez les patients atteints de lymphoedème des membres inférieurs
NA
PREGRALL
Etude multicentrique, en double insu, randomisée versus placebo, visant à évaluer l’efficacité d’une supplémentation maternelle anténatale en prébiotiques GOS/Inuline sur la survenue d’une dermatite atopique à un an chez le nourrisson à risque d’atopie
CHU de Nantes
CHU d'Angers, CHU de Nantes, CHU de Rennes, CHRU de Tours, CHD Vendée
Evaluer l’effet des prébiotiques (GOS/Inuline à un ratio de 9/1) administrés en période anténatale (à partir de 20 semaines d’aménorrhée +/-6 jours jusqu’à l’accouchement) chez la femme enceinte à risque (antécédent personnel d’atopie) sur la prévalence de la DA à l’âge d’un an chez l’enfant
NA
CIMREAL
Etude multicentrique, prospective, non interventionnelle évaluant l’efficacité du certolizumab pégol chez des patients atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère dans la pratique quotidienne
UCB Biopharma SRL
CH Lorient, CHU de Poitiers, CHU de Rennes
L’objectif primaire de cette étude NIS est d’évaluer l’efficacité du certolizumab pégol (CZP) chez des patients atteints de psoriasis en plaques (PSO) modéré à sévère dans le cadre de la pratique clinique de routine.
IV
DELTA 1
Essai clinique de phase 3 pour confirmer l’efficacité et évaluer l’innocuité de la crème de delgocitinib à 20 mg/g appliquée deux fois par jour par rapport au véhicule (crème) pendant une période de traitement de 16 semaines chez des sujets adultes atteints d’eczéma chronique des mains modéré à sévère
LEO Pharma
CH Lorient
Confirmer l'efficacité de deux applications par jour de la crème de delgocitinib à 20 mg/g par rapport au véhicule (crème) dans le traitement de sujets adultes atteints d'eczéma chronique des mains modéré à sévère.
3
IDGO vous propose via ses fiches information divers documents informatifs sur la dermatologie.
Le LIEN (EA4685) accueille de nombreux étudiants en thèse de sciences.
Le LIEN accueille aussi des étudiants issus de master 2, et en particulier des 3 masters suivants :
- Neurosciences cliniques (Université de Bretagne Occidentale)
- Analyse toxicologique du risque pour le consommateur (Université de Bretagne Occidentale)
- Biologie de la Peau (Université de Lyon)
En savoir plus
IDGO propose des actions de formation, à destination des professionnels de santé (médecins généralistes, dermatologues libéraux…) mais également aux patients tout au long de l’année.
Afin de prendre connaissance des prochaines actions de formation, nous vous suggérons de consulter régulièrement les actualités.
La Société Française de Dermatologie met à la disposition du grand public un site d’information consacré à la peau, aux pathologies cutanées ainsi que leurs traitements.
Retrouvez sur le site dermato-info.fr des informations de qualité, l’ensemble des contenus étant validés par le Comité de rédaction de la SFD, société savante de dermatologie Française.
IDGO met à la disposition du grand public un site de vidéos à vocation informative.
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L’ EADV est le plus grand congrès européen de Dermatologie organisée par la société européenne de Dermatologie. Il réunit plus de 11 000 dermatologues venant de tous les pays d’ Europe. Il a lieu cette année à Paris. Bien qu’il s’agisse d’une société européenne, il accueille aussi des collègues et des conférenciers internationaux de plus de cent pays différents: Amérique du Nord et du Sud, d’Asie, d’Afrique et d’Australie !
Toutes les nouveautés en Dermatologie de l’année sont présentées incluant la cancérologie cutanée. Des séances de formations continues pour améliorer ses connaissances sont aussi organisées.
De plus, des sessions sont ouvertes aux infirmières. Le Patient Society Village pour les associations de patients est là aussi pour permettre de mieux comprendre leurs attentes, souhaits et besoins particuliers.
L’ EADV est le plus grand congrès européen de Dermatologie organisée par la société européenne de Dermatologie. Il réunit plus de 11 000 dermatologues venant de tous les pays d’ Europe. Il a lieu cette année à Paris. Bien qu’il s’agisse d’une société européenne, il accueille aussi des collègues et des conférenciers internationaux de plus de cent pays différents: Amérique du Nord et du Sud, d’Asie, d’Afrique et d’Australie ! Toutes les nouveautés en Dermatologie de l’année sont présentées incluant la cancérologie cutanée. Des séances de formations continues pour améliorer ses connaissances sont aussi organisées. De plus, des sessions sont ouvertes aux infirmières. Le Patient Society Village pour les associations de patients est là aussi pour permettre de mieux comprendre leurs attentes, souhaits et besoins particuliers. |
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Les nouvelles thérapies dans le cadre de la prise en charge des cancers de la peau peuvent entraîner des réactions ou effets secondaires liés à leur utilisation. Le présent document propose un résumé des effets secondaires potentiels de chaque classe de traitement. A l’aide de photographies et de conseils adaptés, les patients bénéficiant des traitements ont ainsi la possibilité d’adopter la meilleure conduite à tenir (nécessité d’appeler en urgence un médecin, conseils préventifs…). Ce document est à la disposition également des professionnels de santé comme support à l’information des patients. |
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L'Association des Pédiatres de Ville en Touraine (APVT) ainsi que l'Association Universitaire des Dermatologues d'Indre et Loire (AUDIL), ont le plaisir de vous convier à la 19ième Journée de Dermatologie Pédiatrique Tourangelle, le 7 mars prochain.
Public : Médecins pédiatres et dermatologues
Insciption obligatoire : manera.ssi@wanadoo.fr
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Le Pr Lise Boussemart exerce au sein du service de Dermatologie du CHU de Nantes (Chef de service, Pr Gaëlle Quereux). En sa qualité de PU-PH (Professeur des Universités-Praticien Hospitalier), le Pr Boussemart revêt trois casquettes : celle du médecin, de l'enseignant et du chercheur. Elle est également responsable de l'équipe de recherche #2 de l'INSERM UMR1302. |